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    Parfois !

     

    Parfois dans la vie

    Il faut faire des choix difficiles

    Même si cela nous fait mal

    Il nous faut rester stables

    Surtout ne pas pleurer

    Un attachement inconsidéré.

    Ne pas se lamenter

    Après un orage isolé.

    Le soleil brillera demain

    Gommant ses instants anodins .

    Dans l'ombre sombre des nos pensés

    Il faut réagir sans regret

    Le temps effacera cette page 

    L'incluant dans un livre d'images.

     

     

     

     

                                                  

     

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    J'aurais aimé !

    Souveraine est ma plume

    Elle m'entraine dans l'absolu

    L’inspiration mute en désir

    En un florissant délire !

     

    J’aurais aimé réaliser un univers

    Un cosmos absolu éternel

    Ou il ferait bon flâner

    Les soirs d'automne ou bien d'été !

     

    Cueillir d'innombrables pensées

    En vers en rimes et en bouquets !

    Afin d’ensoleiller nos journées.

     

    J’aurais aimé me promener.

    Sur un rayon de lune

    Afin d'oublier vice et fortune !

     

    J'aurais  aimé cueillir le sommeil  

    Aux limbes nuages de dentelles

    Berceau d'une tendre aquarelle

    En mots d’amour à perdre haleine.

     

    J’aurais aimé charmer les blés mouvants

    Cueillir les plus belles fleurs des champs

    Enveloppée d'une myriade d’abeilles

    Livrant leurs puissances vermeilles

     

    Pauvre lyre reflet de mon âme

    Toi seul découvres la flamme

    En poésie inculte, imparfaite 

    Trop longtemps restée muette.

     

     

     

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  • ECRIRE ici

     

     

     

     

      

    Ma vie aujourd'hui !

     

     

    Encore aujourd'hui, mon crayon me titille

    Faisant de moi sa complice.

    Écrire reste à ce jour une échappatoire à ma vie

    Ma plume aidant, je conserve un meilleur moral.

    Certains jours s’avérant être plus pénibles

    Dans ce tourbillon de tracas .

    M'apitoyer sur mon sort serait incohérent  

    J'ai vécu des moments aussi forts dans mon enfance.

    C’est donc la raison de mes écrits et de ma hardiesse

    Comme lorsque j’étais encore qu'une fillette.

    Un matin, j'ai décidé de m'éloigner des gens

    Ne supportant plus leurs regards indécents.

    L’amitié ! Durant des années fut un royaume

    Mais tout n’était que mensonges en sommes.

    C’est volontairement ! Que je me suis instauré

    Une façon de vivre différente c’est vrai !

    J’ai privilégié ce retrait loin d'un monde civilisé

    Me construisant une bulle de cristal insonorisé.

    Tout en restant chez moi j'arrive à vivre

    Entouré de mes écrits et de livres !

    J’accède donc ainsi à un monde différent

    Même si ma vie reste parsemée de tourments !

    Malgré tout, je vis des instants formidables

    Renouant quelques instants à mon grimoire.

    Je me libère par de simples écrits

    Stagnant encore dans mon esprit.

    Je vis des moments importants

    Lorsque je visite mon jardin.

    J’oublie le temps importun

    Qui eut fait de ma vie du venin !

    En compagnie de mes cannes anglaises

    Qui sont mes plus fidèles dépositaires ?

    Elles épient mes quiétudes soumises

    Et m'entraîne vers des coins bucoliques !

    Puis dans le plus grand des silences, je m’inspire

    De ces moments douceâtres et parfois insipides.

    M’inventant un monde moins cruel 

    Tout en contemplant le ciel...

     

     

     

     

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    Dis-lui que tu n’es pas ceux-là !

     

     

    Elle n’ose toujours pas !

    Te dire ces mots-là.

    Ceux qui torturent son esprit

    L'empêchant de dormir la nuit

    Venant d’un tout petit village

    Où ! Il fait souvent froid.

    Elle aurait aimé te dire ces mots-là.

    Que chez elle la misère n'existe pas .

    Mais hélas la violence

    Tue en silence des innocents

    Toi ! Tu dors au chaud

    Dans un lit sans barreaux  

    Tu manges sans soucis

    Des plats trop riches semblent-ils ?

    Dans le village d’où elle vient

    La faim tue sans attendre demain.

    Son corps elle doit le vendre

    Sinon, la mort au tournant l'attend

    Tu vois pendant qu'elle agonise !

    Ailleurs, pour le plaisir, d'autres se sodomisent

    Quelle vie est là tienne !

    Et telle si différente de la sienne ?

    Dans ce monde de violence

    Où ne règne que l'arrogance ?

    Elle aurait aimé que tu sois différent !

    Mais, pour combien de temps ?

    La peur au ventre la tenaille

    Elle n’ose, te dire prend ma taille !

    Serre-la tout contre toi

    Dis-lui que tu n’es pas de ceux-là!

    Dis-lui de te faire confiance

    Afin qu'elle sorte du silence!

    Dis-lui que tu l'aideras

    Qu’elle trouvera dans tes bras!

    L'espoir, qui chassera la noirceur 

    De son pauvre cœur...

     

     

     

     

     

    La Gentille Rebelle

     

     

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     Notre terre...

     

    Toi qui as le cœur pur

    Regarde cette nature

    Ne vaut-elle pas tout l’or du monde ?

    Elle qui englobe des milliers de secondes

    Je rêve de planifier le temps

    Lui révéler tout doucement

    Que la vie reste un cadeau

    Que l’on étouffe dans un sanglot.

    La vie est parfois étrange.

    Elle nous plonge dans un archange

    Qui s’élève dans le ciel

    Entre les nuages de dentelle.

    Lorsque le ciel pleure

    Il nous faut regarder l’heure.

    Qui s’écoule furtivement

    Nous entraînant sans mystère

    Vers un monde rayonnant

    Qui n’est autre qu’éphémère 

     

     

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