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Par Cynderella le 31 Janvier 2016 à 17:02
Vous qui venez sur mes pages !
Sachez que pour moi, cela est capital.
Étant donné que sur vos pages, je lis de bien beaux écrits
Parfois, je ne laisse aucun mot pour dire ; merci !
Lorsque je suis divisée entre rire et nostalgie
Bien souvent, je m’enfuis plutôt que d’écrire.
Ceci est dans ma nature, je suis une solitaire
Puis, j’emploie souvent un mauvais vocabulaire.
Sur vos lignes, j’observe en silence et je note
Ensuite, je formule cette connaissance en quelque sorte.
Ceci m’aide à améliorer mon oral qui s’épuise.
Alors, je noircis mes pages au sang de ma vie.
Seule, j’ai appris, ce que j’écris aujourd’hui !
Mon savoir je l’ai acquis par la lecture et avec mon ordi
Dés que je vous relis, je savoure chaque mot
Vos mots sonnent juste tel un tempo.
Que de belles phrases je savoure avec avidité !
Lorsque sur vos pages, je viens flâner.
Ainsi au cours de visites, approfondies
Mon savoir petit à petit s’embellit
Sur les chemins enrichis, je cherche un bon glossaire
Ensuite, je rédige les idées qui trottent dans ma tête
Malgré bien des efforts, je me sens souvent vide
Ainsi, au cœur de l’abysse en un mot je m’asphyxie.
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Par Cynderella le 31 Janvier 2016 à 14:10
Tes mots…
Où sont-ils donc ses mots doux, que je n’ose plus lire ?
Ils me manquent pourtant, lorsque jaillit la nuit.
Je les sens me brûler, à travers ton sourire.
Ils affaiblissent ma vie, évoluant au ralenti.
Dieu qu’il est facile, d’être douce et prodigue.
Malgré tout, la peur me fige, m’aspire et me fatigue.
Pourtant cette flamme m’attire, telle une eau limpide.
M’entrainant vers les ténèbres, afin d’aller mourir.
Toutefois, je n’ai qu’une envie, c’est encore de te lire.
Avant de disparaître, vers l’antre de l’oubli.
C.Laurette
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Par Cynderella le 21 Janvier 2016 à 19:29
<p
Mon univers ...
Mon univers à moi
Se compose de peu.
Quelques notes ici et là,
Quelques vers mélodieux.
Lorsque j’ai voulu voir.
Ce qu’était l’aristocratie
J’y ai décelé du noir
En plus de la monarchie
Ce monde de noblesse
Manque de délicatesse.
Observer dans les magazines
Enchantent nos papilles.
Mais le vivre ouvertement,
N’est point un enchantement.
Dans ce labyrinthe de reptiles,
Il faut être indestructible.
Je préfère les châtelaines,
De mes lectures du soir.
Avec eux nulle peine,
Ni le moindre tracas.
Aussi, je préfère être
Cette femme fascinée,
Par un naturel bien-être
Plutôt qu’être adulée.
Devoir languir captive,
Pour le reste de ma vie.
Dans une prison dorée,
Je refuse de l’imaginer
Ma lumière à moi,
N’est faite de tout de rien.
De quelques petits pas
Effectué dans mon jardin.
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Par Cynderella le 17 Janvier 2016 à 18:13
*
Dire au revoir à ma peine,
En ne pourchassant que la joie,
Me délivrer de mes chaines,
Qui me blesse encore parfois !
*
Dire adieu à mes souffrances,
Pour oublier tous mes malheurs,
Vivre dans la véhémence,
Pour vivre que de splendeur.
*
Rejeter le faux du vrai,
Ne garder que la beauté,
Dissiper l’obscurité,
Qui m’obstrue la clarté.
*
Ne préserver que la finesse,
D’un lendemain aléatoire,
Ne plus entretenir les faiblesses,
Qui brise mon cœur tant de fois !
*
Abandonner la nuit, à ses mystères
Oublier toutes ses chimères,
N’attendre rien d’autrui,
En laissant passer la nuit.
*
Je veux vivre ma passion
Avec amour et clarté
Je veux vivre et partager
Ce désir sans aversion !
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Par Cynderella le 15 Janvier 2016 à 21:03
La mer
La mer danse avec les vagues
Le long des beaux rivages
Parfois verte, parfois bleu
Elle danse avec les dieux !
Ornée de dentelles d’écumes
Lorsqu’elle se brise sur la dune
Caressant les galets avec tendresse
Elle cache ainsi sa robustesse!
La mer embrasse les rochers
Telle une amante égarée
Lorsqu'elle se met à mugir
Le marin n'est point surpris
Des flots d'embruns
Qu'elle garde jusqu'au matin
Dansant une folle farandole
Elle engloutit ses idoles
Lorsqu’elle devient fureur
C’est un chant qui fait peur
Elle mugit avec vigueur
Jusqu'aux amples profondeurs
Les sirènes ne chantent plus
Elles connaissent son rebu
De loin, il vaut mieux l’admirer
Aux risques de se faire enlever
De cette puissance elle se joue
Jusqu'à nous rendre fous
De son parfum aigu marine
Elle enveloppe cette assassine…
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