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Par Cynderella le 28 Avril 2016 à 19:32
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Ma vie comporte deux royaumes
Mais si différent en sommes
L’un englobe ma vie privée
Que je protège en secret.
Malgré toutes mes attentions
Je me perds dans mes fictions
En trahissant les règles
En décrivant mes mystères.
Donc, sans turpitude
Je vous narre mes habitudes.
Tout en vous relatant ma liberté
En confidences intimes.
L’âme éternelle inhabitée
Vacille en douce rêverie.
L’autre plus divin
Un peu moins humain.
Constitué de récits poétiques
Dans un domaine fantastique.
Je peux m’inventer
Des milliers de secrets.
Des amants éperdus
Au reflet confus.
Je guide ainsi ma plume
Au fil de mes lectures.
Elle subsiste en mon irréel
Un monde artificiel.
Libérée, l’âme se délie
En un azur qui brille.
D’où résulte un tel engouement ?
Assurément d’un récit d’une légende.
Semblable, à l’espérance trouvée
En d’autres temps imaginés.
Dans cette euphorie verdoyante
Je côtoie le plaisir naissant.
D’une profonde harmonie
Ainsi à l’infini.
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Par Cynderella le 28 Avril 2016 à 11:48
OK
Écrire juste un petit billet
Pour exprimer une pensée
Parler aussi parfois d'amour
En évitant les grands discours
Traduire avec une certaine candeur.
Cette lueur qui vient du cœur
Garder en soi cette euphorie
En exprimant son ressenti
Laisser son âme s’éclipser
Dans les méandres inavoués
Au fil des jours, la voir guérir
Dans le jardin des souvenirs.
Osez parler du bon vieux temps
Comme de vieux amants .
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Par Cynderella le 28 Avril 2016 à 11:43
Lorsque la nuit devient profonde
Je songe à votre odieux mensonge
Je deviens une âme en peine
Dans les méandres de cette scène
Vous avez fort bien joué ce rôle
Celui d'un fort bien gentilhomme
La journée fut forte agréable
Mais coupable était votre langage
Comment ai-je pu croire vos fadaises
Celles dites avec temps de finesse
Grand Dieu, ai-je été sotte
De croire en vos belles paroles
Aujourd'hui, je suis blessée
De vous avoir ainsi trop aimé
Mais ne croyez pas monsieur
Que mon cœur soit malheureux
Certes, à nouveau il brûlera
Mais cette fois, dans d'autres bras.
Un être dévoué, saura mieux que vous
M'allouer un plus bel, et plus grand amour
Ne cherchez point à me revoir
Ne garder surtout plus d'espoir
Je vous tire donc ma révérence, MONSIEUR !
Par cette missive, je vous fais part de mes adieux !
C.Laurette
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Par Cynderella le 23 Avril 2016 à 18:43
J’ai froid mon amour
Je veux vivre près de toi
Mon cœur devient bohème
Surtout lorsque j’ai de la peine
Je m’imagine entre mes bras
Pourtant je sais que je ne peux pas
Tu brilles de mille feux
Dans ce bal des envies.
Tu brilles dans mes yeux
Dans les rêves de mes nuits.
Mon étoile d’amour
Sans cesse, ton image me talonne.
Mon corps lui frissonne,
Je t’imagine dans mon lit.
Mes sourires te donnent des ailes
Tu oses t’approcher, de ta belle.
Pourtant tu aimerais savourer sans retenue
Ce Triangle d’or, ma petite vertu.
Tu m’imagines sous mes dentelles
Alors tu deviens fripon, et moi rebelle
J’aime t’imaginer à me donner du plaisir
Entre mes draps de satin gris
J’aime m’imaginer te supplier
De continuer avec avidité à me caresser.
J’aurais aimé avec toi toucher le septième ciel
Oh mon petit cœur, mon amour rebelle
Pour toi, mon cœur a de la fièvre
Laisse-moi te dire combien je t’aime...
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