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    L'ombre du passé

     

    L’ombre du passé

    Dans l’ombre du passé

    Vivre pour oublier 

    Nos moments d’aigreurs

    Intensif; moment de douleurs.

    Durant des jours des mois

    On demeure sans voix

    Voulant tout délaisser

    Passé, présent, et avenir

    Tout repousser et s’enfuir

    Ne plus voir l’aurore se lever

    Ni l’aube, se coucher

    Vouloir oublier son identité

    Pour oublier son passé

    Ne plus parler, juste dormir

    Pour oublier nos supplices.

    Ne plus oser se libérer

    Des ombres du passé

    Fermer les paupières

    Garder nos mystères

    Subsistant tel un fardeau

    Menant droit au tombeau 

    Se laisser emporter par le vent

    Par de hauts hurlements.

    Mais; garder un petit coin d’avenir.

    Pour ne pas se laisser mourir. 

     

     Ma plume

     

     

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    L'homme

     

    L’homme devient hors la loi

    Lorsqu’il bafoue les droits

     Gâchant son propre avenir

    En négligeant sa survie

    Ne pensant qu’à combattre

    Pour des idées insondables

    Au nom d’une religion

    Il se gave de conditions

    Obtiendra -t-il ce qu’il attend

    Entre vagues et tourments

    Un jour viendra,

    Ou l’homme regrettera

    Les combats futiles et ingrats

    Trop tard, il se souviendra!

    Que le bonheur

    Ne rime pas avec horreur.

    Les lois nécessitent un respect

    Afin de vivre dans le calme et la sérénité

    Des choix s’imposent à leurs yeux

    Pour vivre pauvre, mais heureux.

    Tout reste donc encore possible

    Seule condition restée paisible!

    Afin que la vie devienne plus riche 

    Éclatante d’amour et de délices... 

     

     Ma plume

     

     

     

     

     

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     Toi..

     

    Toi qui naquis de mon sang

    Après silence et médisances

    J'étale ce soir sur le papier

    Les souffrances endurées.

    Deux années se sont écoulées

    Entre nous, l'abysse s’est creusé

    J'avais gardé l'espoir en mon cœur

    Attendant, enfin que viens l'heure.

    J'avais espéré en toi un changement

    Qui hélas! est resté absent.

    Par ton comportement inconscient  

    Ton cœur devient dément

    Le mien n'est guère plus enviable

    Depuis que tu lui as  livré, bataille

    Si j'ai fait ce que tu me reproches

    Je l'ai fait pour protéger tes proches

    Pourtant, tu n'as jamais essayé de savoir

    Pourquoi avais-je commis un tel acte    

    Tu n'as jamais essayé de comprendre

    Le pourquoi du comment !

    Un jour, tu seras solitaire

    Avec  ton cœur de pierre 

    L'amour que je t'ai inculqué

    Tu l'as déjà oublié!

    À tes yeux, seul compte l'argent

    Tu le privilégies aux sentiments

    Tu préfères renier ta propre mère

    Plutôt que faire marche arrière.

    Mais, sache qu'un jour viendra

    Des larmes de sang à ton tour, tu verseras

    J'ai pourtant en vain espéré 

    Aujourd'hui, il ne me reste que le passé...

     

     C.Laurette

    Ma plume

     

     

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     Droit de vie ou de mort ?

     

    Ceux qui sont dans la nuit ont raison lorsqu'ils s'expriment :

    Rien n’existe ! Car c’est dans un rêve qu’ils le vivent.

    Ils rêvent de toucher l’étoile au firmament

    En sacrifiant la vie de bien des innocents

     

     Droit de vie ou de mort ?

    Ils l’approchent toujours, mais sans jamais l’atteindre,

    Lui, l’être qu’on ne peut toucher, ternir, éteindre.

    Rien n’existe à leurs yeux, seul dieu d’adoration

    Qu’ils peignent en un flamboiement profond

     

     

     Droit de vie ou de mort ? 

    Ne croyez surtout pas que vous ne serez point puni

    Tout revient dans les limites, qui sont celles de l'infini

    Cessez votre idéal dans vos circonférences

    Entre les astres, le monde, nulle apparence.

     

     Droit de vie ou de mort ? 

    Je ne vois pas pourquoi je ne vous dirais point

    Ce qu’à d’autres j’ai dit, sans vider mon venin

    Eh bien, démasquez-vous! c’est vrai, votre âme est noire ;

    Sortez de ce cercle, nommé forme oratoire. 

     

      Droit de vie ou de mort ?

    Ma plume

     

     

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    L'océan

     

    L’océan

     

    L'océan

     

     L’océan lui souffle ,quelques rimes en un mot

    Souvent traversée par d’infinis sanglots.

    Les éclairs sont des cris, que la foudre lui envoie

    Dès qu’elle cherche en vain un peu d’espoir.

    Elle capte l’azur, d’une douceur de femme

    Son cœur le sait aussi bien que son âme.

    Oublier ses souffrances, voir un seul instant,

    Elle ne peut y songer, cela reste évident

    Elle ressasse en un mot ce dont elle a souffert

    Et dois faire peu de cas de tout ce bleu superbe.

    De cette grâce où l’ombre en clarté se dissout, 

    En un vaste sourire, s'épanouissant sur tout...

    L'océan

     

    Ma plume

     

      

     

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