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Par Cynderella le 23 Septembre 2016 à 19:07
Dans l’ombre du passé
Vivre pour oublier
Nos moments d’aigreurs
Intensif ; moment de douleurs.
Durant des jours des mois
On demeure sans voix
Voulant tout délaisser
Passé, présent, et avenir
Tout repousser et s’enfuir
Ne plus voir l’aurore se lever
Ni l’aube, se coucher
Vouloir oublier son identité
Pour oublier son passé
Ne plus parler, juste dormir
Pour oublier nos supplices.
Ne plus oser se libérer
Des ombres du passé
Fermer les paupières
Garder nos mystères
Subsistant tel un fardeau
Menant droit au tombeau
Se laisser emporter par le vent
Par de hauts hurlements.
Mais ; garder un petit coin d’avenir.
Pour ne pas se laisser mourir.
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Par Cynderella le 23 Septembre 2016 à 19:03
L’homme devient hors la loi
Lorsqu’il bafoue les droits
Gâchant son propre avenir
En négligeant sa survie
Ne pensant qu’à combattre
Pour des idées insondables
Au nom d’une religion
Il se gave de conditions
Obtiendra -t-il ce qu’il attend
Entre vagues et tourments
Un jour viendra,
Ou l’homme regrettera
Les combats futiles et ingrats
Trop tard, il se souviendra !
Que le bonheur
Ne rime pas avec horreur.
Les lois nécessitent un respect
Afin de vivre dans le calme et la sérénité
Des choix s’imposent à leurs yeux
Pour vivre pauvre, mais heureux.
Tout reste donc encore possible
Seule condition restée paisible !
Afin que la vie devienne plus riche
Éclatante d’amour et de délices...
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Par Cynderella le 7 Septembre 2016 à 23:28
Toi..
Toi qui naquis de mon sang
Après silence et médisances
J'étale ce soir sur le papier
Les souffrances endurées.
Deux années se sont écoulées
Entre nous, l'abysse s’est creusé
J'avais gardé l'espoir en mon cœur
Attendant, enfin que viens l'heure.
J'avais espéré en toi un changement
Qui hélas! est resté absent.
Par ton comportement inconscient
Ton cœur devient dément
Le mien n'est guère plus enviable
Depuis que tu lui as livré, bataille
Si j'ai fait ce que tu me reproches
Je l'ai fait pour protéger tes proches
Pourtant, tu n'as jamais essayé de savoir
Pourquoi avais-je commis un tel acte
Tu n'as jamais essayé de comprendre
Le pourquoi du comment !
Un jour, tu seras solitaire
Avec ton cœur de pierre
L'amour que je t'ai inculqué
Tu l'as déjà oublié!
À tes yeux, seul compte l'argent
Tu le privilégies aux sentiments
Tu préfères renier ta propre mère
Plutôt que faire marche arrière.
Mais, sache qu'un jour viendra
Des larmes de sang à ton tour, tu verseras
J'ai pourtant en vain espéré
Aujourd'hui, il ne me reste que le passé...
C.Laurette
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Par Cynderella le 16 Juillet 2016 à 18:31
Ceux qui sont dans la nuit ont raison lorsqu'ils s'expriment :
Rien n’existe ! Car c’est dans un rêve qu’ils le vivent.
Ils rêvent de toucher l’étoile au firmament
En sacrifiant la vie de bien des innocents
Ils l’approchent toujours, mais sans jamais l’atteindre,
Lui, l’être qu’on ne peut toucher, ternir, éteindre.
Rien n’existe à leurs yeux, seul dieu d’adoration
Qu’ils peignent en un flamboiement profond
Ne croyez surtout pas que vous ne serez point puni
Tout revient dans les limites, qui sont celles de l'infini
Cessez votre idéal dans vos circonférences
Entre les astres, le monde, nulle apparence.
Je ne vois pas pourquoi je ne vous dirais point
Ce qu’à d’autres j’ai dit, sans vider mon venin
Eh bien, démasquez-vous! c’est vrai, votre âme est noire ;
Sortez de ce cercle, nommé forme oratoire.
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Par Cynderella le 15 Juillet 2016 à 21:57
L’océan
L’océan lui souffle ,quelques rimes en un mot
Souvent traversée par d’infinis sanglots.
Les éclairs sont des cris, que la foudre lui envoie
Dès qu’elle cherche en vain un peu d’espoir.
Elle capte l’azur, d’une douceur de femme
Son cœur le sait aussi bien que son âme.
Oublier ses souffrances, voir un seul instant,
Elle ne peut y songer, cela reste évident
Elle ressasse en un mot ce dont elle a souffert
Et dois faire peu de cas de tout ce bleu superbe.
De cette grâce où l’ombre en clarté se dissout,
En un vaste sourire, s'épanouissant sur tout...
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