• Mon vieux Chéne

     

     

     Mon vieux chêne !

     

     

    Mon vieux Chéne

     

     

    Mon cœur est inondé, d’une immense tristesse 

    L'homme a décidé d’abattre sans faiblesse 

    Le vieux chêne compagnon de mes jours d’allégresses 

    Oh ! Combien de fois sous ces frondaisons, me suis-je réfugiée ? 

    Comment aurai-je pu un instant m'imaginer ! 

    Qu’un jour au pied de lui, je viendrai supplier 

    Des hommes sans pitié, lui coupant ces racines  

    Tant de fois, j’ai crié ! Laissez-le donc tranquille ! 

    Il ne dérange en rien ce petit coin paisible. 

    N’éprouvant pas la joie immense qu’il procure 

    Favorisant l’argent, à la belle nature. 

    Sans oublier l’odeur, qu’encense le bitume 

    C’est le cœur souillé, et rempli d’amertume ; 

    Que je demeurais seule en compagnie de ma rancune ! 

    Envers ce monde acariâtre et abrupt 

    En condamnant à mort, le vieux chêne de mon enfance  

    Ils ont cassé en moi, un trésor d’innocence 

    Le cœur serré, mon âme vagabonde 

    En mes souvenirs, intarissables et profonds 

    Jamais en mon cœur ils ne détruiront  

    Ce que la nature m’avait donné de bon… 

     

     

    Mon vieux Chéne

     

     

    Mon vieux Chéne

     

     

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