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Parfois, il suffit d’une étincelle
Pour que renaisse cette ivresse
Cet espoir que l’on a condamné
Dans un délire inavoué
Certaines paroles dites avec sincérité
Engendre un délice, une félicité
On y prend gout et l'on se laisse envouter
Par cet instant magique, voir singulier
Alors, on ne veut plus lâcher ce fil conducteur
Qui engloutit nos chagrins et nos pleurs
Mais, lorsque l’on ouvre les yeux
On s’aperçoit que l’on est toujours malheureux.C.Laurette
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Lorsque l’on entrevoit sa vie
On en oublie nos rêveries
On sanglote, puis on rit
On souffre et l’on gémit
On brode la nostalgie.
Qui revêtit nos vies !
Aux creux de nos mémoires
On analyse le désarroi
D’une complainte soumise !
À la porte du paradis
On comprend alors que la vie,
Celle que l’on a choisie
Passe dans un soupir.
Relatant une vie que l’on ne sut chérir
C.Laurette
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