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    Je n'ai plus...

    Je n’ai plus…

    Je n’ai plus de passé

    Je n’ai plus d’avenir,

    Le regard épanché

    Sur les larmes de ma vie

    Je comprends enfin

    Ce qui m’a tant minée,

    Les réveils du matin

    Et les longues soirées.

    J’ai perdu ce sommeil

    Qui repose en chaque être

    Aussi à présent  

    J’ai perdu l’avènement

    J’attends donc sagement

    Le retour du printemps,

    Le chant des oiseaux

    Pour créer un berceau.

    Pouvoir me reposer

    Et enfin oublier

    Les erreurs du passé

    Qui m’a fait sombrer

    Dans un puits profond

    Néant de l’horizon

    C.Laurette 

     

    Je n'ai plus...

    Je n'ai plus...

     

     

     

     

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    Dans l'écrin de ma vie !

      

     

     

     

    Dans l'écrin de ma vie

    Dans l'écrin de ma vie !

     

    Dans le fond de mon âme,

    Il y a eu temps de larmes.

    Quelques-unes ont séché

    D'autres les ont remplacés.

    Elles racontent l’histoire,

    D'une enfance saccagée

    À les lire, on peut voir,

    Tout ce qui est arrivé.

    Elles débutent d'une enfance,

    Caricaturée de souffrance.

    Elles laissent enfin paraître,

    Le désarroi d'un petit être.

    Puis au cours des années,

    Elles glissent lentement

    Sans s’être évaporées

    Les blessures du temps.

    Celles qu’il creuse, et dévaste

    Révélant à jamais l’état d’âme

    De ce qui fut autrefois,

    Insouciance sans joie.

    Elles sont là, bien présentes

    Dans ce trou trop profond.

    Bien souvent, elles englobent

    Mes doutes si présents.

    Un soir, aux limites de la tolérance

    Elles jailliront de leur tombeau

    Puis viendra alors la délivrance,

    D'un au revoir, d'un dernier mot...

    C.Laurette

     

     

     

     

     

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    Dans l'alcôve de tes bras

     

      

     

     

     

    J'aimerai de mes doigts

    Avec le fil de mon amour

    Broder sur ta peau

    L'image de ma passion

    Mais le fils est trop court

    Mon amour trop puissant

    Je reste sans recours

    Devant mon découragement !

    Certes, tu as des sentiments

    Mais sont-ils aussi forts

    Que ceux que mon cœur ressent.

    Dans l'alcôve de tes bras ; 

    Et j’en oublie mes tracas.

    Mais durant combien de temps ?

    Devrai-je vivre dans l'attente.

    De la certitude d'un amour partagé.

    Sans l'ombre d'un secret…

     

    C.Laurette

     

    Dans l'alcôve de tes bras

     

      

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     Mon vieux chêne !

     

     

    Mon vieux Chéne

     

     

    Mon cœur est inondé, d’une immense tristesse 

    L'homme a décidé d’abattre sans faiblesse 

    Le vieux chêne compagnon de mes jours d’allégresses 

    Oh ! Combien de fois sous ces frondaisons, me suis-je réfugiée ? 

    Comment aurai-je pu un instant m'imaginer ! 

    Qu’un jour au pied de lui, je viendrai supplier 

    Des hommes sans pitié, lui coupant ces racines  

    Tant de fois, j’ai crié ! Laissez-le donc tranquille ! 

    Il ne dérange en rien ce petit coin paisible. 

    N’éprouvant pas la joie immense qu’il procure 

    Favorisant l’argent, à la belle nature. 

    Sans oublier l’odeur, qu’encense le bitume 

    C’est le cœur souillé, et rempli d’amertume ; 

    Que je demeurais seule en compagnie de ma rancune ! 

    Envers ce monde acariâtre et abrupt 

    En condamnant à mort, le vieux chêne de mon enfance  

    Ils ont cassé en moi, un trésor d’innocence 

    Le cœur serré, mon âme vagabonde 

    En mes souvenirs, intarissables et profonds 

    Jamais en mon cœur ils ne détruiront  

    Ce que la nature m’avait donné de bon… 

     

     

    Mon vieux Chéne

     

     

    Mon vieux Chéne

     

     

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    Rêver!

     

    Rêver !

     

     

    Rêver, c’est oublier la réalité 

    Durant quelques heures 

    Tout en se donnant la liberté 

    De vivre dans l’erreur 

    C’est savoir inventer 

    Puis savoir mentir 

    Pouvoir transfigurer 

    Sa souffrance en plaisir 

    Pénétré dans un univers 

    Ignorer les larmes et la guerre 

    Vivre d’amour partagé 

    Savourer, un grand bol d’air frais 

    Pouvoir vivre et respirer 

    Sans crainte d’être régenté 

    Cheminé vers le firmament 

    Pour un bonheur surprenant 

    Rêver !

     

    Rêver !

     

      

    Rêver !

     

     

     

     

     

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