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    Te souviens-tu ?

     

    Cétait au début du printemps

    C’était au début du printemps ;

    Les oiseaux chantaient dans les champs.

    Je galopais sur le sentier fleurit ;

    Les yeux brillants de désir.

    Tu m’attendais dans un soupir,

    Me donnant ainsi le vertige.

    Exquis était le moment venu  

    Dès que dans tes bras, j’étais nue.

    À toi, je me suis offerte sans manière

    Me moquant de ton vocabulaire.

    Jamais ; je me suis offusquée.

    Des manières employées 

    Pour accéder à tes souhaits !

    Je me suis laissé entrainer ;

    Par ce nuage de volupté.

    Mais, pour te faire dire, je t'aime !

    Ceci ;  était un vrai problème.

    Pour toi, les mots étaient censurés ;

    J'aurai dû mieux me protéger !

    Sans regret, tu as tout dévoré

    Mon amour, ma liberté.

    Tu m'as volé mon innocence

    Ma virginité, mon ignorance.

    Aujourd'hui, tu t'es enfui,

    Me laissant seule avec l’ennui.

    Il me reste les souvenirs ;

    Restant gravé à l’infini.

    Durant des mois, j’ai attendu

    Tout en espérant ta venue.

    Seul ; le chant des oiseaux m’a révélée.

    Le fantasme, d'une rêverie inachevée…

                    C.Laurette

     

     

     
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     Pauvre petite fille!

     

    Tu n’as rien pressenti

    Quand il t’a volé ta vie

    Les cheveux au vent

    Tu courrais vers l’océan

    Nu-pieds sur le sable chaud

    Tu rêvais les mains dans l’eau

    Les vagues aux couleurs irisés

     Te bercer de leurs  pensées

    Tu aspirais à saisir là-haut

    Un morceau de soleil

    Accroché au ciel

    Mais soudain, ce fut le chao

    Il était caché sur la dune

    Cet homme à la barbe brune

    Il t’a souri, puis a réussi

    À t’entrainer vers son paradis

    Il te paraissait fort gentil

    Alors sans méfiance tu l’as suivi

    Tu ne savais pas

    Ou te guider ses pas

    Mais très vite tu compris

    L’erreur que tu avais commise

    Aujourd’hui, tu restes dans le noir

    Tu t’accroches au dérisoire

    Tu vis une vie de recluse 

    Depuis ce jour de torture

    C.Laurette

     

     

     

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     Astres divins

    Astres divins

     

    Aux divers soupirs du vent

    À la céleste voûte bleue

    Aux rayons calmes du temps

    Aux lumineux astres de feu

    Tu éclaires nos chants

    D'une valse d'espoir

    Tu habilles nos champs

    D’une myriade d’étoiles

    Soleil astre farceur

    Réchauffe-nous le cœur

    Arbore chacun de mes mots

    Ceux, que j’écris en tempo

    Afin que naisse la passion

    Dans un monde d’adoration

    C.Laurette

     

    Astres divins

     

    Astres divins

     

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    Petit bout de femme ! 

     

     

    Petit bout de femme, elle a voulu s'envoler

    A la veille des fêtes de fin d’année. 

    De la vie elle était désespérée.

    Elle voulait ne rien voir n’y supporter 

    Elle l'avait écrit sur un papier brouillé

    Mais personne n'a pu l'aider. 

    Elle avait tant de mal à cacher sa douleur ;

    Son cœur et son âme noircis avaient pris peur 

     Seule, elle est restée avec son désespoir

    Sachant le cacher surtout le soir 

    Pourtant elle écrivait, ne soyez pas choqué ;

    Elle ne voulait surtout pas vous inquiéter 

    Aujourd'hui à nouveau elle veut partager ;

    Afin d’éviter de vous culpabiliser.

    C.Laurette

     

    Petit bout de femme !

     

     

     

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    Amère souffrance !

     

     

    Amère souffrance !

     

    Amère souffrance

    D’un amour vécu !

    Fête la déchéance

    D’un amour déçu !

    Au cœur du désespoir ;

    Petit bout de bonheur.

    L'ange balaie le noir ;

    De l'infinie douleur.

    Rêver de paradis ;

    Cela fut concis !

    À présent, les pleurs ;

    Expulse ce leurre…

    C.Laurette

     

     

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