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    Avec son sourire d’ange !

    Il est beau, avec son sourire d’ange

    Mais ! Son cœur saigne à cet archange.

    Souvent, il pleure, ceci est idiot

    Il se sent mal dans sa peau

    La vie cruelle est un miroir

    Qui nous fait apercevoir

    Que bien des soucis

    Recherche un appui

    Regardons devant notre porte

    Ce que le vent nous apporte

    Un sourire trompeur,

    Pour cacher l’erreur

    Une larme qui coule,

    Pour dissiper le doute

    Un cœur qui pleure,

    Dans la douleur !

    Ne doit-on pas pardonner ?

    À celui qui vient de s’éloigner

    Pensant seul capturer

    De meilleures pensées

    Un cœur plein d’amour,

    Ne requiers rien en retour !

     

     

     

     

     

     

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    Petit

     

    Petit

    Petit admire l’eau du ruisseau

    Profite de sa sérénité

    L’envol restera le créneau

    Moyennant fait de félicité

    Jamais tu n’oublieras

    Cet intense moment de joie

    Jouis de ce moment d’euphorie

    Hâtivement substituée au dépit

     

     

     

     

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    Laissez-moi !

     

    S'il vous plait, pardonnez-moi 

    Si je perds parfois la raison 

    Mais j'ai emprunté cette voie 

    Celles des chemins de la passion. 

    Mais ne suis-je pas avant tout une muse ? 

    Miroitant dans mes subterfuges  

    Ma mémoire étant encore bonne 

    Alors qu’on me pardonne.

    Serai-je devenue insensible ?

    Dans cet univers subtil

    Miroir ! Vois-tu mes doutes?

    Au travers de cette route !

    Ne confonds pas cette douce folie  

    Avec une triste maladie ! 

    Si je n'ai pas toute ma raison 

    Sachez faire la distinction 

    Car parler d’amour n’est point un crime 

    Juste un plaisir de quelques rimes. 

    Écrire, en compagnie de ma plume 

    Pour narrer aubaine et infortune. 

    Pardonnez mes incartades et mes caprices  

    Laisse-moi les clamer en bouquets d’artifices 

      

     

     

     
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    Cœur rempli d’amertume !

     

    Entourée d’une lumière sombre

    Dans les ténèbres, il succombe 

    Je n'ai su retenir ce cœur renversé

    De ce monde, où l'amour n'a point su le combler. 

    Pourquoi ai-je détourné les yeux

    De son regard amoureux

    Alors, simplement en tendant la main

    J'aurai pu guérir son chagrin 

    Son cœur soupirait d'amour

    Le mien n’était point au rendez-vous 

    Ainsi des larmes de sang, souffle d’une vie.

    Que de supplices insoupçonnés l’ont anéanti 

    Le cœur affaibli dans ce malheur

    Meurtrissure d’une âme en douleur

    Sincèrement aujourd’hui,

    Je regrette et je m’en veux

    De l’avoir fait ainsi souffrir !

    Et rendu malheureux

    Trop jeune, je n’ai pas compris,

    Il voulait simplement assouvir mes désirs

    Un jour pourra-t-il me pardonner

    De n’avoir su, correctement l’aimer

     


     

     

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    Si ce monde voulait bien changer !

     

    Si le monde voulait bien changer !

     

    Si je prends ma plume aujourd'hui;

    C'est pour exprimer mon dégoût.

    Aussi bien pour la société où je vis;

    Ou, dans cet univers entouré de fous !

    Où est-il le temps jadis ?

    Le respect envers autrui ?

    Ceci n'est plus qu'un mirage !

    Perdu dans un lointain rivage.

    Sommes-nous contraints de vivre ainsi ?

    Sans une main tendue pour réconforter !

    Devons craindre l'adversité ?

    Celle qui nous entraîne vers l'oubli !

    Pour ma part, cela fait longtemps.

    Que de ce monde je me suis éloignée !

    Par crainte de devoir endurer trop souvent

    Les méchancetés, couramment livrées.

    Chaque jour reste un éternel combat.

    Mené instamment ici-bas !

    Doit-on vivre dans cet univers ?

    Ou la vie est juste éphémère.

    Frémir devant l'indifférence ?

    Pleurer sur nos innocents !

    Sur nos êtres chers violés et tués.

    Et ses combats qui riment à quoi ?

    Guerre de religion comme au moyen-âge !

    Franchement parler j'en suis médusée.

    Dans ma bulle à moi, il n'y a plus de place

    Pour ces gens devenus démoniaques.

    Je reste là, durant des heures, assise derrière mon écran,

    Je parcours les infos de ce monde devenu satanique ;

    Je préfère rester prisonnière de ma solitude

    Plutôt que d'exister avec ce monde pervers par inadvertance !

    Ma plume m'éloigne de cet univers diabolique :

    Elle m’entraîne vers un monde bien plus agréable.

    Les jours passent sans férocité,

    Et moi je prends mon temps qui est limité.

    Vu que nous ne sommes que de passage ; 

    Je veux oublier ses mauvais présages... 

     

    Si le monde voulait bien changer !

     

    Si le monde voulait bien changer !

    Si le monde voulait bien changer !

     

      

     

     

     

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